Les cancers représentent en France la première cause de décès chez l’homme et la deuxième chez la femme. Santé Publique France copilote la surveillance épidémiologique et participe à leur prévention.
Les infections sexuellement transmissibles (IST) se transmettent principalement lors des rapports sexuels. Il existe de nombreux virus ou bactéries transmissibles de cette manière.
Les maladies cardiovasculaires regroupent un ensemble de troubles affectant le cœur et les vaisseaux.
Dues à des expositions professionnelles, les principales maladies en lien avec le travail sont surveillées par Santé publique France dans l’objectif d’élaborer, avec les partenaires, les politiques publiques de prévention.
Les maladies neurodégénératives sont des maladies chroniques progressives qui touchent le système nerveux central. Santé publique France en assure la surveillance épidémiologique.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.
Les traumatismes non intentionnels entraînent chaque année environ 40 000 décès, dont 21 000 décès suite à un accident de la vie courante et plusieurs millions de recours aux urgences.
L’exposition à des substances chimiques présentes dans l’environnement ou en milieu de travail peut avoir des conséquences néfastes sur la santé. Santé publique France met en œuvre des dispositifs de surveillance pour caractériser et évaluer leurs impacts sur la santé.
A chaque âge correspondent des conditions de vie et des préoccupations différentes. Il est donc cohérent de s’adresser différemment aux personnes selon les différents âges de la vie.
La pollution de l’air concerne toute la population. Les niveaux de polluants observés dans l’atmosphère sont associés à des risques pour la santé et toute diminution de l’exposition à ces polluants serait bénéfique.
La pollution de l’air impacte la santé des populations. Santé publique France surveille les impacts sanitaires de ce facteur de risque.
Les travaux menés jusqu’à maintenant concernent principalement l’air extérieur. L’impact sanitaire de l’air intérieur nécessite d’être mieux documenté. Santé Publique France travaille donc aujourd’hui à améliorer la surveillance des effets sanitaires liés à cet environnement.
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